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Le travail courageux du Maître Suprême Ching Hai pour le monde, partie 11/12

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Nous n’avons pas de planète B. OK ? On en a, mais à d’autres endroits. Pas ici. Nous ne pouvons pas remplacer ici. Je ne veux pas que des milliards de personnes souffrent si quelque chose arrive à la planète. C’est pourquoi j’essaye très fort.

Compter sur l’eau de mer et une machine. Ce n’est pas toujours sûr, n’est-ce pas ? Et toute cette ville doit boire ce genre d’eau. Peut-être qu’ils peuvent la filtrer avec un instrument spécial, n’est-ce pas ? (Oui.) Une tasse spéciale, un pot spécial, une cruche ou autre, ça peut le faire. Mais combien de temps ? Et ils doivent se laver avec, se baigner dedans. Laver les légumes et tout dans ce genre d’eau. Et la mer est si grande, mais de nos jours, ce ne sont pas tous les espaces d’eau de mer qui sont propres. Ils y jettent des eaux usées, ils y jettent des ordures, ou ils s’écoulent simplement, par hasard, par nature, et toutes sortes de plastiques, de microplastiques à l’intérieur et puis toutes sortes de choses sales ou de systèmes d’égouts, tout ça va dans la mer parce qu’il n’y a nulle part ailleurs où aller, dans certains pays, c’est comme ça. (Oui.) Ou parfois un typhon ou un tremblement de terre, c’est cassé, alors tout le système d’égouts est allé à la mer, ou dans les rivières ou les lacs et puis on boit cela. (Oh.) Même pas recyclé, même pas purifié. Même si l’eau des eaux usées est purifiée, on dit qu’on peut la boire, mais pouvez-vous imaginer la boire ? (Non.) Mieux vaut ne pas le savoir, c’est le mieux. (Oui.) Si vous êtes dans tel ou tel pays et que vous savez que cela pourrait arriver, essayez simplement de penser que ce n’est peut-être pas dans ma tasse. C’est ailleurs. Peut-être qu’ils l’utilisent juste pour la douche, peut-être qu’ils ne l’utilisent pas dans mon système d’eau. Vous pariez, vous espérez, vous priez. (Oui.) Tout le monde n’a pas les moyens d’acheter de l’eau filtrée. Beaucoup de gens doivent boire ça. Et je prie pour qu’ils n’aient pas à savoir. Pourquoi est-ce que je parle autant de ces choses-là ?

Choisissez la qualité, choisissez la classe et offrez le meilleur aux gens. Faites autant que possible. Ça aide. Ça aide, en partie, beaucoup de gens (Oui Maître.) à ouvrir les yeux, à être bons envers les uns les autres, à être bons envers les animaux. Vous aidez à sauver des millions, des milliards d’animaux au fil du temps, si ce n’est pas rapidement. Ça aide. Certaines chaînes sont gratuites. Ils sont également heureux. Parce que l’un de vos frères s’occupe de ça. Il dit toujours : « Merci, Maître. Nous trouvons toujours de bonnes chaînes, qui aident le monde. » Et puis récemment, j’ai découvert que certaines chaînes ne nous facturaient pas du tout. Soit une chaîne Internet, soit à la télévision, soit sur le câble. Et j’ai dit : « Non, non, non, non. »

Je lui ai écrit. Une de vos sœurs le sait. Je t’ai dit de l’écrire pour moi. (Oui Maître.) J’ai dit : « Non, non. Je ne prends jamais d’argent aux gens. Nous devons payer, car eux, le propriétaire de la télévision, du câble, doivent payer. Sont-ils si riches ? » Ils ont dit : « Non, non. Je ne sais pas s’ils sont riches ou non. Ils ne veulent pas de notre argent. Ils aiment notre contenu. (Oh.) Ils aiment notre contenu télévisé. » J’ai dit : « Ils devraient l’aimer. Nous travaillons jour et nuit. Nous sacrifions notre sommeil et nos repas pour cela. Nous travaillons déjà au mieux des capacités humaines. Ils devraient l’aimer. Et on choisit, on a fait de notre mieux. Donc, s’ils l’aiment, ce n’est pas une surprise. Mais nous devons payer, car ils doivent payer. » Ils ont dit : « Non, ils ne veulent pas prendre notre argent. » Certains veulent même nous payer pour diffuser notre télévision.

Une seconde. Aujourd’hui, il doit y avoir beaucoup de karma, pas le vôtre. Le karma du monde. Certains jours moins, d’autres jours plus. Mes yeux coulent à nouveau, et peut-être parce que ce dont nous parlons affectera beaucoup de gens, donc le karma vient déjà à moi. Je n’ai jamais eu ce larmoiement jusqu’à aujourd’hui. Parce que quand je ne vois pas les disciples, rien ne m’arrive, (Oui Maître.) moins, moins arrive.

Pour le moment, je pense que de nombreux pays n’autorisent pas les gens, même le Vietnam ou Âu Lạc, ils ne laissent pas encore entrer les étrangers, sauf pour une raison très particulière. Ou leurs propres gens, qui viennent de l’étranger, alors ils doivent les mettre en quarantaine et vérifier avant de les laisser sortir. Oh mon Dieu, quelle pandémie. Ils font tout le monde devenir des prisonniers. Vous voyez ça ? (Oui.) (Oui Maître.) C’est un karma tellement collectif. Mais elle a quelques bons points. En Irlande, ils libèrent de nombreux prisonniers, voire tous, car ils ne veulent pas que le COVID-19 devienne un cluster là-bas. Je viens de le voir quelque part. Peut-être qu’ils ne les libèrent pas dans la société. C’est simplement comme l’isolement quelque part, ainsi ils ne s’infectent pas davantage les uns les autres. C’est bien pour eux, au moins ils ont plus de liberté et d’intimité. (Oui Maître.)

Bon. Pourquoi je parle de ça ? Nous n’avons pas de planète B. OK ? On en a, mais à d’autres endroits. Pas ici. Nous ne pouvons pas remplacer ici. Je ne veux pas que des milliards de personnes souffrent si quelque chose arrive à la planète. C’est pourquoi j’essaye très fort. Et pire que tout, que quelque chose arrive à leur âme. Parce que, oh mon Dieu, c’est une énorme tâche monumentale de sauver tous les milliards de personnes de l’enfer. Tout leur karma restera avec eux pour toujours. Un si grand nombre, difficile d’intervenir.

Faites très attention, à ce que vous donnez au monde, à travers notre télévision. C’est digne de votre sacrifice. Et je vous remercie à jamais. Je vous remercie vraiment. Vous savez que je le pense vraiment. Hein ? (Oui Maître.) (Nous Vous remercions Maître.) (Merci Maître.) Je vous remercie de sacrifier vos meilleures années de votre temps pour rester et travailler avec moi en équipe. Je remercie également tous les frères, sœurs dans le monde. Ils sacrifient également leur temps, même s’ils ont leur famille et leur travail. Je vous remercie tous. Sincèrement. (Merci Maître.) Peu m’importe qui je suis. Peu m’importe qui vous êtes. Je vous remercie. Dans ce travail, nous sommes égaux. Vous comprenez ça ? (Oui Maître.) Je ne suis que votre coéquipière. Vous comprenez ça, collègues ? Dans ce travail, Supreme Master Television, je suis votre collègue, votre collègue de travail, d’accord ? Nous sommes amis, coéquipiers, c’est un travail d’équipe. C’est tout. C’est pourquoi j’écris toujours pour vous remercier. (Oui Maître.) Je suis un Maître. C’est un domaine différent. Mais dans ce travail, nous sommes ensemble comme une équipe. C’est pourquoi je vous remercie toujours.

Je vous remercie d’aider le monde. Je vous remercie pour votre sacrifice. Je vous remercie pour vos compétences, pour votre talent, pour votre bonté, pour votre sincérité, pour votre bon cœur. Je vous remercie. Je sais. Vous le savez, n’est-ce pas ? Vous savez que je vous ai remercié bien des fois. (Oui Maître.) Pas toujours pareil. Je peux. Je peux le faire. Je peux juste écrire une phrase : « Merci pour votre talent, pour votre bonté, pour votre cœur. » Puis l’imprimer pour tout le monde. Mais j’ai écrit tout ce qui me vient à l’esprit. Émission différente, équipe différente.

Je vous remercie tous et tout le travail d’équipe. Parce que je me considère comme votre coéquipière. (Oui.) Comme votre égale. Parce que nous travaillons pour le même idéal. Avec le même idéal, la même direction et on fait la même chose. On est donc une équipe. Selon les normes humaines, je suis de votre équipe. Mais je suis votre Maître. C’est différent. Le Pouvoir du Maître, je l’utilise pour vous aider et aider le monde et l’univers. C’est une chose différente. Mais quand je fais la même chose avec vous, nous sommes une équipe. D’accord ? (Oui Maître.) Je veux que vous me considériez aussi de cette façon, alors n’hésitez pas à me poser des questions ou à me dire ce qui ne va pas. Vous n’avez jamais hésité. Vous me dites les choses. N’est-ce pas ?

Merci beaucoup. Mais vous me dites que ce n’est pas... et c’est bien. Nous travaillons ensemble comme ça afin que nous puissions toujours être meilleurs et nous améliorer. Alors j’ai déjà dit à votre sœur plusieurs fois, je pense, au moins trois fois. J’ai dit : « Nous allons à mon endroit préféré dans l’Himalaya, et là, à côté du stand de samoussas. Et nous pouvons en manger plus d’un ou plus de deux. » Parce qu’à cette époque, je n’avais pas assez d’argent. Je ne pouvais me permettre que deux, maximum ce jour-là. Et un autre jour, je ne peux pas. Mais maintenant, je pense que je peux, vous pouvez manger tout le stand si vous le souhaitez. Nous nous relayons pour manger tout le stand. En ce moment, nous devons tous sacrifier ces samoussas dont je fais tant de publicité. Cette dame, si elle est encore en vie ou non, elle devrait me donner des samoussas gratuits pour cette publicité. Non ? Parce qu’elle en fait de très petits, comme mon poignet, comme ça, le samoussa.

Dans une boutique normale, ils les font plus gros, comme ça. Mais s’ils les font plus gros, ils seront plus chers, alors je ne pourrais même pas m’en payer la moitié d’un. Alors elle les fait très petits. De la taille de mon poignet, et je ne pouvais en acheter qu’un chaque jour, car je ne savais pas combien de temps je resterais là-bas, et mon argent s’épuisait parce que je faisais des dons partout, la bénédiction de Dieu. La bénédiction de Dieu que j’aie pu donner à ce moment-là. Pour moi à cette époque, quand je donnais 10 000 marks allemands, c’était beaucoup d’argent pour moi. Étant donné que je n’avais plus rien, peut-être un billet de retour et de l’argent pour le taxi seulement.

C’est l’argent de ma retraite que j’ai retiré plus tôt. Vous pouvez faire cela en Europe, vous pouvez retirer votre argent. Je ne sais pas dans d’autres pays, mais en Allemagne, vous pouvez le faire. Vous pouvez retirer votre argent, l’argent de la retraite. Parce que vous avez travaillé, vous avez payé votre retraite et si vous n’attendez pas d’être plus vieux ou que vous ne travaillez plus, vous voulez l’argent, vous pouvez l’avoir. C’est l’argent de ma retraite. Parce que je ne l’ai reçu qu’en Allemagne, je ne l’ai pas eu en France ou à d’autres endroits où j’ai travaillé auparavant, je ne pense pas, c’est juste en Allemagne, j’ai travaillé là-bas. Et cela signifie que j’ai donné tout ce que j’avais à ce moment-là. Pour moi, c’était beaucoup. Et puis quand je suis revenue, je suis revenue d’une façon ou d’une autre et puis j’ai eu un peu plus d’argent mais très peu, très peu, pas 10 000 comme ça.

Ou peut-être que mon ancien mari a mis de l’argent à la banque sans que je le sache après mon départ ou avant mon départ, ce que je ne savais pas. Je voulais fermer le compte bancaire, car je pensais que je n’avais pas d’argent dessus, à quoi bon le garder. Peut-être seulement 10 dollars, et je ne veux pas le conserver au cas où je devrais payer pour le service. C’est ce que je pensais. (Oui.) Alors je vais le fermer, et puis j’ai peut-être, 4 000 Deutsche Marks. Je ne sais pas combien ça fait de dollars américains aujourd’hui. Ça ne peut pas être bien plus que ça. Vous savez, plus ou moins. Peu importe, ce n’est pas beaucoup et je devais acheter un billet avec ça, et je devais survivre. Je devais acheter ma nourriture, mais j’étais très économe, juste des chapatis et du beurre de cacahuète, et du concombre. C’est tout, tous les jours. Et un samoussa. Et pas tous les jours, pas tous les jours.

Maintenant, je sais que le chapati, le concombre et le beurre d’arachide sont suffisamment nutritifs. J’ai appris que le beurre d’arachide est assez nutritif pour moi. Je suis petite. Et les chapatis, les chapatis (à la farine) complète, ça devrait me suffire. Donc je mangeais le minimum de nutrition nécessaire pour survivre. Et j’étais très contente. Maintenant que j’y pense, j’étais la plus heureuse là-bas… oui, à ce moment-là. Même si je n’avais pas beaucoup d’argent et que je n’avais pas assez de bonne nourriture.

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