Chercher
Français
  • English
  • 正體中文
  • 简体中文
  • Deutsch
  • Español
  • Français
  • Magyar
  • 日本語
  • 한국어
  • Монгол хэл
  • Âu Lạc
  • български
  • Bahasa Melayu
  • فارسی
  • Português
  • Română
  • Bahasa Indonesia
  • ไทย
  • العربية
  • Čeština
  • ਪੰਜਾਬੀ
  • Русский
  • తెలుగు లిపి
  • हिन्दी
  • Polski
  • Italiano
  • Wikang Tagalog
  • Українська Мова
  • Autres
  • English
  • 正體中文
  • 简体中文
  • Deutsch
  • Español
  • Français
  • Magyar
  • 日本語
  • 한국어
  • Монгол хэл
  • Âu Lạc
  • български
  • Bahasa Melayu
  • فارسی
  • Português
  • Română
  • Bahasa Indonesia
  • ไทย
  • العربية
  • Čeština
  • ਪੰਜਾਬੀ
  • Русский
  • తెలుగు లిపి
  • हिन्दी
  • Polski
  • Italiano
  • Wikang Tagalog
  • Українська Мова
  • Autres
Titre
Transcription
À suivre
 

Prenez des mesures courageuses pour un monde végan ! Partie 1/5

Détails
Télécharger Docx
Lire la suite

Donc, l’amour, c’est regarder dans la même direction. Ainsi, nous ne sommes jamais séparés. Par ailleurs, même si nous ne nous voyons pas dans cette vie, dans cette vie physique, nous nous reverrons en permanence quelque part, un lieu que vous ne pouvez pas imaginer.

Hé ! Bonjour. Bonjour. (Bonjour Maître !) Comment allez-vous ? ( Bien. ) Vous êtes beaux là-bas avec les décorations. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez m’entendre ? (Oui.) Bien. J’ai vu que beaucoup d’entre vous venant de pays étrangers ont pris le temps et la peine de venir à l’Ashram de New Land, et j’avais vraiment très envie de vous voir. Mais j’étais encore en retraite. Et puis quand j’ai voulu vous voir à Hsihu par la suite, je n’ai pas pu y arriver. Vous connaissez le karma, non ? (Oui.) Le karma est toujours le problème. Vous le savez, n’est-ce pas ? Si c’est le karma d’une personne, c’est plus facile à gérer. Si c’est le karma de beaucoup de gens, alors vous le savez déjà. C’est plus compliqué et ce n’est pas pratique de s’en occuper. L’autre chose est : si c’est le karma du monde, alors oh, OK, vous pouvez imaginer. Vous pouvez imaginer. Cette retraite, j’ai dû beaucoup, beaucoup, beaucoup travailler. En plus du travail à l’intérieur, j’ai même dû m’occuper du travail extérieur aussi. Et le maya s’était vraiment abattu sur ma retraite cette fois, très, très diligemment, je dois dire. Si le maya pouvait utiliser tout ce pouvoir et cette diligence pour m’aider, alors je serais invincible. On pourrait transformer le monde en paradis, juste comme ça. Malheureusement, il ne l’a pas fait. L’entité, quelle que soit l’entité que nous appelons maya, ne nous aide pas. Il se tient du côté opposé de notre idéal et du bien-être des humains. Cette retraite n’était pas aussi calme que la toute première que j’ai faite. Et plus je travaille à l’intérieur pour le monde, plus maya enverra la pire sorte d’énergie. Mais je n’abandonnerai pas. Je le lui dis tout le temps. Je le dis à cette entité [maya] tout le temps. Tu fais ce que tu veux, et je fais ce que je veux. Mais je n’abandonnerai jamais à cause de toi, alors n’en rêve pas.

Je suis dans une petite région froide. Et vous ? Vous sentez-vous bien ou il fait froid là-bas ? (Nous allons bien.) Vous vous sentez bien ? (Oui.) Pas trop froid ? (Non.) OK, bien, bien. Quoi qu’il en soit, je vais bien, ça va. C’est juste un peu difficile cette fois de se battre de tous les côtés – arrière, devant, en haut, en bas, à gauche, à droite. Mais je vais bien. Juste que je ne peux pas vous voir. C’est la seule chose regrettable. Je sens vraiment que vous vouliez me voir vraiment, vraiment beaucoup (Oui !) et dans mon cœur, je voudrais répondre à cet amour que vous m’avez envoyé, à travers votre envie (de me voir), parce que certains d’entre vous ne m’ont pas vue depuis longtemps et vice versa. Je regrette de ne pas pouvoir vous voir. J’ai essayé mais à la dernière minute, je n’ai quand même pas pu y arriver. Les choses arrivent, hein ? OK ? Pas besoin de mentionner beaucoup de choses négatives ici pour vous. Je suis ravie de vous voir avec des mines heureuses, radieuses après tant de jours de méditation. Je vous félicite. Félicitations. Néanmoins, nous avons encore d’autres fois, d’autres occasions. Nous l’espérons. De toute façon, nous travaillons ensemble. Donc, l’amour, c’est regarder dans la même direction. Ainsi, nous ne sommes jamais séparés. Par ailleurs, même si nous ne nous voyons pas dans cette vie, dans cette vie physique, nous nous reverrons en permanence quelque part, un lieu que vous ne pouvez pas imaginer. Mais vous pouvez y penser, vous pouvez en rêver. C’est un plan d’existence brillant qu’aucun mot de notre vocabulaire ne peut expliquer, exposer, décrire, jamais, jamais. Et notre cerveau ne peut pas vraiment comprendre ou l’imaginer. Mais peu importe, nous y arriverons. Dans certaines de vos séances de méditation, dans vos visions, vous en avez probablement déjà eu un aperçu. Et les Dieusses du niveau supérieur étaient si miséricordieux qu’Ils nous ont même montré cette planète par le double soleil. Vous savez, la dernière fois, quelqu’un a pris une photo en Mongolie, elle le montre. Vous savez, il y a une planète derrière le soleil, avec le soleil. Il n’y a aucun moyen de décrire le plan d’existence, le plan d’existence de la nouvelle conscience. Mais c’est juste un message symbolique pour que le monde sache que nous avons une nouvelle planète pour vous, les âmes dignes, les enfants bien-aimés de Dieu. Et je suis très heureuse d’avoir vu cela dans la dimension physique.

J’ai vu que vous veniez de partout : Argentine, Espagne, Suède, Suisse, Allemagne. Quoi d’autre? Indien, Inde. (Australie. Mongolie.) Mongolie. Ça je sais. Chine, Vietnam ou Âu Lạc. D’où venez-vous d’autre ? Royaume-Uni, États-Unis, Australie. Qu’ai-je oublié ? Dîtes-moi. ( Nouvelle-Zélande, Maître. ) Oui ! Nouvelle-Zélande, bien sûr. (Hongrie.) Oh, ouah ! La Hongrie, c’est si loin. Merci d’être venu. (Merci, Maître.) Merci. ( L’Australie, Maître. ) L’Australie je l’ai mentionnée, non ? Qui d’autre ai-je oublié ? ( Le Canada, Maître. ) Le Canada ! Oui bien sûr. Je ne pouvais pas manquer ça. Beaucoup, beaucoup plus. J’aurais vraiment aimé vous voir en personne. Je veux dire, c’est aussi personnel que possible pour le moment. Mais j’aurais aimé être là-bas avec vous. Vous savez, respirer le même air. Vous ne me manquez pas vraiment tant que ça. Ce qui me manque, ce sont les mets qu’ils préparent. Je suis sûre qu’ils préparent des plats merveilleux ces jours-ci, non ? Espérant que je viendrais en profiter, ensuite vous vous occupez de tout. Vous vous êtes occupés pour moi de cette belle nourriture, y compris mes portions, n’est-ce pas ? (Oui.) Je n’ai pas besoin d’être devin pour voir ça. Je n’ai pas besoin d’être un Nam Sa-go ou un Nostradamus pour imaginer tout cela. Tant mieux pour vous. Je n’ai pas toujours cette chance.

Donc, certains endroits sont très beaux, comme la Hongrie. Cette région de campagne où nous avons médité et fait une bonne retraite avant. Je ne pouvais pas rester. Je voulais. J’ai adoré cette caravane, cette petite caravane, très petite, comme deux (mètres) sur deux, ou deux sur deux et demi. J’avais tout ce qu’il me fallait dedans, même un évier pour me laver les mains, pour avoir de l’eau pour faire cuire de l’eau chaude parfois, indépendamment. Je me sentais très libre dans cette petite caravane. Plus tard, nous en avons même eu une plus grande, juste dans un coin du jardin. Et j’ai essayé de rester là-bas aussi, mais ce n’était pas aussi confortable que cette petite-là. Elle avait une forme semi-ovale et à l’intérieur il y avait même un lit que je pouvais partager avec mes chiens. Et puis il y avait un petit canapé, comme un banc, et une table pour travailler. Et puis à l’extérieur, nous avons construit une petite terrasse en plus, et ensuite j’ai pu mettre les chiens, certains chiens dans une niche, à l’extérieur. Et j’ai même construit un petit escalier pour les chiens. Nous n’avions pas assez de place, donc j’avais un duplex pour les chiens pour qu’il puisse descendre comme ça. Et je me sentais vraiment très, très à l’aise dans cette petite caravane. Si confortable.

Et les Hongrois m’ont traitée si gentiment, m’ont traitée comme une princesse ou une reine. Ils m’ont apporté de bons plats, un magnifique goulache cuisiné. Je n’ai jamais eu nulle part ailleurs un goulash aussi magnifique que celui que j’ai eu là-bas. Je m’en souviens encore. Il y avait une sœur, elle cuisinait un goulache fantastique. Je ne me souviens plus de son nom. Je ne suis pas très douée pour la langue hongroise. Leur langue est vraiment hors de ce monde. Je n’entends rien de similaire en Europe. Je ne vois aucune écriture similaire en Europe. N’est-ce pas ? Les Hongrois ? (Oui.) C’est très différent. Mais le goulash, c’était, oh, vraiment extraordinairement bon cette fois-là. Peut-être a-t-elle cuisiné avec amour. Ou peut-être que c’était les bons ingrédients. Parce qu’ils ont une sauce au piment rouge spéciale en Hongrie. Si vous ne l’avez pas, ça n’a pas le même goût. C’est un ingrédient très, très important du goulasch que les Hongrois cuisinaient. C’est fabriqué en Hongrie. C’est également cultivé en Hongrie. La Hongrie est un pays qui a beaucoup, beaucoup de produits agricoles, et de bons produits, sains, complets. Donc, si vous vivez en Hongrie, c’est un pays agricole, vous n’aurez jamais faim. Je ne sais pas pourquoi ils ont mis le nom « Hongrie ». Vous ne serez jamais « hungry » (affamé) en « Hongrie », c’est sûr.

C’est au milieu de l’Europe, et le climat est toujours le même ; il ne change pas tant que ça. Peut-être qu’avec le changement climatique, ça change un peu. Mais comme c’est au milieu de l’Europe, ça ne sera pas affecté tant que ça. Et la tradition agricole de la Hongrie ne changera jamais. Partout où vous allez, vous verrez, ils cultivent des légumes, ils cultivent des céréales, ils cultivent des tournesols, dans les champs de nombreux autres produits qui peuvent nourrir tout le pays avec des surplus. C’est vrai, le Hongrois ? Vous voyez, je connais. Je connais ton pays. S’il fait chaud quelque part, vous pourriez aller en Hongrie. Si le climat change trop, vous pourriez aller en Hongrie. Si vous pensez que les autres ne peuvent pas vous fournir assez de nourriture, allez en Hongrie. La norme de vie là-bas est très, très frugale. Vous pouvez acheter une maison simple, pour peut-être 30 000 $ US, et vous y serez déjà heureux. Je n’ai jamais voulu quitter ma petite caravane. Je n’ai pas besoin d’une petite maison. Ma petite caravane suffisait. Parce que là-bas, les gens vous laissent tranquille, ils vous laissent vraiment tranquille. Vous êtes au cœur des terres agricoles ; entouré de fermes, de rizières ou de fermes de blé ou de maïs. Ils cultivent toutes sortes de choses. Seuls les agriculteurs y vivent. Ainsi, vous pouvez voir de très beaux paysages, et (c’est) ouvert, et l’air est frais. On a aussi beaucoup d’arbres autour. Et personne ne vous dérange jamais. Vous vous sentez donc très libre en vivant là-bas.

Et les Hongrois, ils sont très simples, ont l’esprit très pur. À part la Slovénie, je n’ai vu aucun autre pays en Europe qui a une méditation de groupe avec des personnes purement de souche, comme en Hongrie. Nous remercions aussi nos frères et sœurs là-bas qui, même au début de ma mission, c’est-à-dire il y a très, très, très longtemps… Je ne veux pas me souvenir parce que cela me va me rappeler que je suis trop âgée. Mais il y a bien longtemps, quand Je n’étais pas très connue partout dans le monde, je suis allée pour la première fois en Hongrie et depuis cela, ils ont commencé à traduire tous mes enseignements, le moindre enseignement, par écrit à l’époque. Et puis ils l’ont diffusé partout. Et donc, nous avons beaucoup de nos frères et sœurs hongrois, et c’est dû à la diligence des frères et sœurs, les tout premiers frères et sœurs en Hongrie. Nous n’en avions pas beaucoup à cette époque-là, mais il était l’un des principaux, poussant et tirant les roues du Dharma en Hongrie. Tant de gens en Hongrie l’ont rejoint. Et pas simplement rejoint, mais quiconque a été initié n’a pas dévié de son chemin grâce à la traduction de tous les enseignements qu’il se procurait à ce époque-là. Je prie le Ciel de le bénir, et tous ceux qui ont participé à mes débuts.

La Hongrie me manque toujours. Cette petite caravane me manque. S’il vous plaît, ne la vendez pas, ne la louez pas. Gardez-la pour moi, même vide. Ce n’est pas beaucoup ; c’est seulement deux mètres sur deux. Et il n’y a pas grand-chose dedans à acheter ou à envier comme chose de valeur. Ce n’est qu’une petite caravane pour une personne. C’est une caravane d’une personne. Heureusement que je suis célibataire, je peux avoir une si belle caravane. Pour deux personnes, ça pourrait déjà être trop de monde, même si on dit « pour deux », mais dans cette caravane, ça serait comme une « foule ». Les chiens, ça ne les dérangeait pas, mes chiens ne me dérangeaient pas, car ils ne font aucun problème. Ils ne jouent pas à des jeux avec vous ; ils ne vous dérangent pas. Ils sont toujours pacifiques et aimants, attentifs, et apprécient tout ce que je leur donne.

Regarder la suite
Toutes les parties  (1/5)
Partager
Partager avec
Intégré
Démarrer à
Télécharger
Mobile
Mobile
iPhone
Android
Regarder dans le navigateur mobile
GO
GO
Prompt
OK
Appli
Scannez le code QR
ou choisissez le bon système à télécharger.
iPhone
Android