Bonjour à vous, toutes les belles âmes qui sont descendues dans ce monde pour apporter des bienfaits à tous les autres, autant que vous en êtes capables, selon la Grâce de Dieu, et la Volonté de Dieu. Je suis heureuse que vous soyez dans ce monde, et je vous aime pour cela, et je vous remercie pour cela. Même si vous faites un peu de bien aux autres, même si vous pensez que c’est peu, cela peut signifier beaucoup pour celui qui le reçoit. Au moins, votre âme est pure, votre cœur est bienveillant, car vous adorez Dieu, vous louez tous les Maîtres et vous remerciez toutes les âmes nobles qui accomplissent la Volonté de Dieu pour le bien de tous.
Je suis heureuse que vous soyez ici avec moi. Sinon, je me serais probablement sentie ou me sentirais encore très seule sur cette planète, car nous sommes très loin de la Maison. Bien que ce ne soit pas loin, mais à cause de l’espace physique, on a l’impression que c’est loin. Mais tant qu’on médite à l’intérieur, on peut toujours contacter la Maison ou faire une brève visite dans un quartier voisin de notre Maison Céleste.
Je voudrais vous demander de m’aider, s’il vous plaît, à remercier Mahākāśyapa, car je ne pense pas L’avoir suffisamment remercié. Et je veux vous raconter Son histoire, afin que certains d’entre vous, qui ne savent pas qui Il est, se sentent honorés de Le connaître. Mahākāśyapa était l’un des principaux disciples du Bouddha lorsque L’Honoré du Monde était encore en vie. On L’appelait « L’Ascète Numéro Un ». Le Bouddha avait dix disciples principaux, et certains d’entre eux portaient un titre comme Mahākāśyapa est « L’Ascète Numéro Un ». Maudgalyayana est comme « Le Pouvoir Magique Numéro Un ». Et le grand Ananda est « La Bonne Mémoire Numéro Un ». Il y en a d’autres. Sariputra est le plus sage, par exemple. Et selon une légende bouddhiste, Mahākāśyapa – le vrai Mahākāśyapa le moine, l’un des principaux disciples du Bouddha – est toujours vivant aujourd’hui sur Terre et médite dans un endroit, peut-être une grotte dans la montagne, qui s’appelle Pied de Poule.
Celle qui m’avait donné le śarīra du Bouddha, votre sœur, voulait que je change la photo qu’ils avaient mise sur [Supreme Master TV] en premier lieu – ce n’était pas celles que Mahākāśyapa m’avait données. Elle voulait donc que je la remplace par la vraie photo. J’ai vraiment envie de le voir (le śarīra du Bouddha) maintenant, mais je suis un peu loin. Je n’ai pas encore pu m’y rendre assez rapidement. De plus, je suis encore en retraite. Je ne veux pas aller trop loin. Je ne devrais pas.
Une fois qu’on est en retraite, on devrait toujours rester au même endroit, aussi concentré que possible au même endroit. Peut-être qu’on pourrait être dans le jardin, mais sans voir personne, et sans laisser personne nous voir, afin de pouvoir exploiter tout son pouvoir dans un but particulier. Beaucoup de gens font une retraite juste pour revigorer leur énergie et mobiliser toute leur puissance afin d’accomplir une tâche.
Hier, j’ai eu une discussion avec mes chiens-personnes. Parfois, c’est juste par télépathie ; parfois, si possible, par téléphone. Et les chiens-personnes savent même ce que je vous ai révélé. Je ne voulais pas le faire. Je ne voulais pas le révéler, mais Dieu m’a fait le faire. Et après vous l’avoir révélé, j’ai demandé à Dieu trois fois encore si oui ou non c’était la bonne chose à faire – de vous révéler ma véritable identité ; ou si ce n’est pas le cas, s’il Vous plaît, laissez-moi supprimer ces parties. Parce que je ne sais pas comment les gens réagiront, et je ne sais pas non plus comment réagir à leur réaction. Je ne me sens pas très à l’aise pour parler directement, honnêtement et ouvertement de ce que je suis. Dans ce monde physique, je suis comme vous. Mais je suis connectée à mon Moi Supérieur, et c’est une chose différente ; sinon, je ne pourrais pas recevoir assez de Pouvoir pour faire mon travail, qui est beaucoup, et très, très, très lourd.
Je veux vous parler de Mahākāśyapa pour que vous sachiez à quel point Il est grand – même en tant qu’humain, en tant que personne, sans parler d’un Saint. Il est vraiment un Saint. Il a gardé Sa discipline. Dans le bouddhisme, il y a 13 disciplines très strictes auxquelles il faut adhérer pour être appelé « le meilleur ascète ».
Par exemple, on ne peut pas manger après midi et on ne mange qu’une fois par jour. Vous n’avez que trois couches de robes de moine, et vous devez récupérer les tissus jetés dans la rue, au cimetière ou dans les zones de déchets où les gens se débarrassent de tout, pour fabriquer vos propres vêtements. Vous ne pouvez pas porter d’habits neufs, ni acheter de nouveaux habits, vous ne pouvez pas accepter d’habits nouvellement confectionnés pour vous. Vous devez le faire vous-même ; vous ramassez des vêtements partout où vous le pouvez, et vous les recousez pièce par pièce pour en faire de bons vêtements chauds pour vous couvrir dignement. C’est tout ce que vous pouvez avoir. Vous avez un bol de mendicité pour demander l’aumône, et vous prenez soin de vous une fois par jour.
Et encore de nos jours, il y a des moines Hinayana qui font la même chose ou similaire. Mais ils mangent de tout. Ils ne se limitent pas au véganisme, qui est un régime de compassion. Parce qu’au début, certaines personnes sont arrivées et n’étaient pas habituées au régime végan, alors le Bouddha leur a permis de manger trois types de viande d’animaux-personnes autorisés – comme ces animaux-personnes dont vous mangez la chair et dont vous n’entendez pas les cris lorsqu’ils meurent ; ou un animal-personne dont vous savez que ce n’est pas à cause de vous qu’il/elle est tué(e) ; ou les animaux-personnes qui meurent naturellement, ou par accident ou de vieillesse quelque part dans la forêt ou dans la rue – alors vous pouvez les manger. Mais plus tard, le Bouddha a dit : « Vous ne devriez plus manger cela. » Il a insisté sur le fait que quiconque mange de la viande d’animal-personne n’est pas Son disciple, et que quiconque mange de la viande, n’est pas non plus l’Enseignant de cette personne.
« À cette époque, l’Arya (sage) Bodhisattva-Mahasattva Mahamati (Grande Sagesse) dit au Bouddha : "Bhagavan (l’Honoré du Monde), je vois que dans tous les mondes, l’errance dans les naissances et les morts, les animosités exacerbées, et la chute dans les mauvais chemins, sont tous causés par la consommation de viande et les meurtres cycliques. Ces comportements augmentent l’avidité et la colère, et rendent les êtres vivants incapables d’échapper à la souffrance. C’est vraiment très douloureux." [...] "Mahamati, après avoir entendu mes paroles, si l’un de mes disciples ne considère pas ceci honnêtement et continue à manger de la viande, nous devrions savoir qu’il est de la lignée du candela (tueur). Il n’est pas mon disciple et je ne suis pas son enseignant. Ainsi, Mahamati, si quelqu'un veut devenir membre de ma famille, il ne doit pas manger de viande." » ~ Le Laṅkāvatāra Sūtra (Tripitaka n° 671)
Le Bouddha était strictement végan. Vous pouvez voir certains des extraits que je vous ai expliqués il y a des années de cela sur le fait que le Bouddha était végan. Parce qu’Il a nommé la soie, le duvet, le lait, les œufs, les bottes en cuir ou tout ce qui a trait aux animaux-personnes, vous ne devriez pas les utiliser parce qu’ils causent de toute façon de la souffrance.
« Les Bodhisattvas et les moines purs qui marchent sur les chemins de campagne ne foulent même pas l’herbe vivante, et la déracinent encore moins. Comment donc peut-on être compatissant en se gorgeant du sang et de la chair d’autres êtres ? Les moines qui ne porteront pas de soies provenant d’Orient, qu’elles soient grossières ou fines ; qui ne porteront pas de chaussures ou de bottes en cuir, ni de fourrures, ni de duvet d’oiseaux de notre propre pays ; et qui ne consomment ni lait, ni lait caillé, ni ghee, se sont vraiment affranchis du monde. Lorsqu’ils auront payé les dettes de leurs vies antérieures, ils n’erreront plus dans les trois royaumes. Pourquoi ? Porter des parties du corps d’un être, c’est impliquer son karma avec cet être, tout comme les gens sont devenus liés à cette terre en mangeant des légumes et des céréales. Je peux affirmer qu’une personne qui ne mange pas la chair d’autres êtres, ne porte aucune partie du corps d’autres êtres, et ne pense même pas à manger ou à porter ces choses, est une personne qui obtiendra la libération. Ce que j’ai dit est ce que les Bouddhas enseignent. Mara, le Diable, enseigne le contraire. » ~ Le Śūraṅgama Sūtra
Même si cet animal-personne n’est pas tué à cause de vous, si vous le mangez, alors les gens devront tuer un autre animal-personne pour le vendre à d’autres qui veulent l’acheter parce que vous avez mangé cette portion d’animal-personne. Il manque donc une portion, un poulet-personne manque. Donc, si quelqu’un veut l’acheter, il doit tuer un autre poulet-personne pour vous le vendre, ou pour le leur vendre.
Le Bouddha a enseigné la compassion dans toutes les écritures qu’Il a prêchées au cours de Sa vie, qui a duré plusieurs décennies. Donc si un moine est censé suivre le Bouddha, il doit adhérer à la compassion ; c’est normal. Vous faites ce que font vos Professeurs. De plus, c’est une chose à ne pas faire ; il ne faut pas tuer les autres pour maintenir votre vie, tout comme vous ne voudriez pas être tué pour maintenir la vie d’autres êtres. Vous ne voudriez pas être tué pour qu’un tigre puisse être rassasié – non. De même, un poulet-, une vache-, un cochon-, une chèvre-personne ne voudraient pas être tués pour vous maintenir en vie, pour remplir votre estomac.
Photo Caption: Du désert sec, rude à la ville animée. Grâce à Dieu, nous pouvons nous adapter au nouveau style merveilleux avec joie !
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